La peur.



Définition littérale : sentiment d’angoisse éprouvé d’un danger, réel ou supposé.

La peur est une émotion qui peut être ressenti lors d’une présence ou dans la perspective d’un danger qui peut être imminent ou imprévu. Ainsi qu’à l’approche d’un événement qui peut être vue comme stressant ou dangereux. A l’approche de ce danger, de cet événement ou tout autres choses, notre instinct d’être humain, qui est aussi notre instinct de conservation, analyse le danger en nous permettant soit de fuir ou de combattre. Cela va être une réponse au stress, a notre anxiété, a nos angoisses, se produisant en présence de quelque chose de terrifiant, que cela soit mentale ou physique.

Dans cet idée, la peur peut être lié à l’appréhension des situations que l’on n’aime pas, que nous revivons, qui sont induites ou transmise par notre passé. Cela peut être lié par exemple à des animaux car nous en avons peurs.

La peur est le mot que nous utilisons le plus facilement et le plus fréquemment pour décrire notre façon d’agir et nos comportements face àun danger ou à certaines crises dans notre vie et faire face aux changements qui peuvent se produire. Parfois ils nous arrivent aussi de la confondre avec les phobies, les angoisses et le stress en d’autres termes, il s’agit d’une émotion plus que complexe qu’il n’y parait.

La peur est aussi très subjective,elle est souvent liée à d’autres émotions, a nos expériences, notre milieu
culturel et socio-éducative a contrario qui peuvent être lié à des comportements plus objectifs comme le mouvement ou notre vision. Les émotions qui peuvent êtrer accordé à la peur peuvent être l’horreur, la terreur qui sont un empilage de cognitions, de cognitifs vécus par le passé et le présent pour tout être humain face à une situation ou des situations données et non le fruit de reflexes bien ordonnés, innés, hérités est lié à notre évolution.

La peur peut être importante a bien des niveaux car dans une définition plus globaliste qui est généralement accepté de la peur et décrite comme étant une émotion déplaisante et intense en réponse à un danger ou une menace qu’elle soit imminente ou non. Elle peut être lié à un film intérieur ou un devancement de la situation. Il s’ensuit bien évidement une réaction physiologique qui nous prépare soit à affronter cette menace soit à la fuir. Dans certaines situations nous pouvons déclencher une réponse
de prosternation, de paralysie… devant le danger.

Il existe très souvent une confusion courante entre la peur et d’autres états comme les phobies, les angoisses et le stress. Prenons l’exemple d’un objet quelque conque d’une personne ou d’une situation qui devient à force une phobie. Là on dit qu’il s’agit souvent d’une crainte irrationnelle de quelque chose qui n’est pas véritablement dangereux comme un pont, une foule ou un espace clos…

L’anxiété est un état qui sera diffus, déplaisant, nous donnant un vague sentiment d’appréhension. Dans les faits contrairement à la peur ou à la phobie, le stimulus de l’anxiété n’est pas connus ou il est totalement imprécis comme marcher dans une ruelle non éclairée peut déclencher une crise d’angoisse car notre cerveau ne fait que détecter de possible danger.

A contrario le stress de son côté va être une réaction physiologique a un stimuli extérieur ou intérieur qui
n’aura pas forcément une réponse à un danger ou une menace immédiate mais liée à une anticipation, la plupart du temps.Nous pouvons aussi insinuer même dire que la peur et l’angoisse sont des sentiments faisant bon voisinage car ils peuvent être semblable mais il faut comme les voisins les différenciés l’un
de l’autre. Si nous voulons aller plus loin dans l’analyse certaines personnes disent que le lien que nous pouvons attribuer à l’angoisse est son lien avec la liberté et en même temps nous pouvons penser que la liberté est inexplicable est appartient à chacun de nous et si on veut donner une explication c’est en
démontrer la nécessité.

La peur est en d’autre une émotion ressenti à l’intérieur comme à l’extérieur de nous généralement en
présence ou a l’approche d’un danger. C’est-à-dire lors de la présence d’une situation comportant une possibilité d’un inconvénient ou quelque chose qui nous ferait du mal par sa présence. Si nous reprenons l’angoisse et la peur, l’angoisse est une inquiétude qui est semblable à la peur mais dans laquelle celle-ci reste indéterminé et sans objectivation.

Pour terminer ce chapitre sur la peur nous pouvons la ressentir, la sentir lorsque nous sommes confrontés à des menaces qu’elles soient physiques, psychologiques, réelles ou même imaginaires. Chez certaines personnes la peur peut prendre l’apparence d’une nervosité intense comme le stress. La peur tend à se présenter sous un jour comme un volet physiologique fort au vue quelle prépare notre corps a une réponse plus ou moins adapté à la situation de combat, a un droit de réponse ou même de fuite ou de pétrification.

Nous pouvons voir apparaitre des symptômes physiques comme :

· Tensions musculaires cou et épaules

· Respiration rapide

· Accélérationdu rythme cardiaque

· Peau moite

· Transpiration

· Visagepale ou rouge

· Tremblements

· Vertiges

· Nausées

On pourrait croire que certaines idées s’accrochent à la peur étant une certaine tendance à se concentrer seulement sur l’éventualité d’un préjudice, d’un danger ou toute issu négative pour soi même ou les personnes nous entourant. On peut dire que la responsabilité et ces fonctions sont des facteurs communs a la peur. Troisexemples qui pourraient provoquer de la peur en nous avec des pensées qui y sont liées ou même à cette appréhension qui est en nous.

- Le non-respect d’une date buttoir.

- La sécurité de notre emplois ou lascolarité de nos enfants ou de nous-même.

- L’humiliation en public devant nos amis,notre famille, notre employeur.

Cela peut être compliquer lorsque nous avons des impératifs professionnels… La peur peut entraîner des
conséquences sur la concentration. Quand cela est le cas, on se préoccupe d’avantage d’une menace potentiel que de voir nos responsabilités du moment. La peur peut nous amener à être hypersensible aux indices de notre environnement qui alimentent ou même renforcent nos pensées, nos images liées à cette peur. La réaction la plus courante face à cette peur est soit de l’éviter soit de la fuir, la situation qui est a
l’origine de cette peur. On peut alors abandonner certaines de nos obligations, certaines de nos responsabilités ou faire le mort. Et là nous nous sentons soulagé mais seulement temporairement lorsque nous avons évité cette situation.

Quelques pensées parasites lors de certaines situations qui nous font peur.

o Je n’y arriverai jamais.

o Je n’ai pas la moindre idée de ce que jesuis en train de faire.

o Je vais être complétement humiliée.

o J’ai dû dire ou faire quelque chose demal sans m’en rendre compte

o Ma réputation va être a revoir ou vaêtre anéanti

o Elle va perdre confiance en moi.

o Je suis tellement nulle que je n’yarriverai pas autant tous reporter….

Un exemple typique au travail nous avons très souvent des présentation à faire pour x ou y raison notre peur de parler en public nous paralyse. Nous avons tendance à remettre à plus tard le fait de préparer cette présentation car nous appréhendons l’idée de parler en public. Alors on se sent soulager temporairement de ce report de cette préparation et se mettre à l’abri de toute possibilité d’humiliation publique.

Mais en revanche en mettant cette situation de côté nous renforçons dans un autre sens cette peur selon laquelle il est dangereux d’une certaine façon de faire cette présentation. Par cette habitude d’évitement en déléguant, en repoussant ou en disant que nous sommes malade par rapport a cette situation cette échéance qui nous est désagréable, d’où l’intensité de la peur de parler en public que nous ressentons. Qui s’accroit ce qui est ironique dans un sens car éviter des éléments qui nous effraient se traduit généralement par un accroissement de la peur sur un long terme. Il est impératif d’apprendre à cerner cette peur avec ces comportements ces mécanismes d’évitement et d’essayer de les stabiliser de les amadouer et d’en faire une force et non un obstacle.

L'hypnose ou l'hypnose énergétique comme outil de transformation :
 

  • Dissipe les blocages, les situations.
  • Permet d’accueillir les peurs, les accepter et se reconnecter pour se renforcer.
  • Change les perceptions et les points de vue des peurs.
  • Prendre du recul par rapport aux ressentis.
  • Stabilise l'état émotionnel.
  • Diminue le stress, l'angoisse et les douleur.

Le reiki ou soin énergétique comme outil de transformation : 

  • Développe l’écoute de soi et les besoins de son corps et de son esprit.
  • Connaissance de soi, de ses ressentis, de ses émotions, de ses peurs.
  • Comprendre les maux de son corps pour agir sur les causes.
  • Diminue stress, anxiété, angoisse, douleurs...

Le massage ou le massage énergétique comme outil de transformation :

  • Harmonise, connecte, rééquilibre corps et esprit.
  • Libération des blocages.
  • Intègre le corps, l’esprit et les émotions.
  • Libération et dissipation des peurs bloquées.
  • Diminution du stress, des angoisses...
  • Améliore la conscience de soi.
  • Augmentation de la relaxation et du bien-être.